La rentrée scolaire 2023/2024 était prévue hier lundi 02 octobre 2023 sur toute l’étendue du territoire national. Pour constater l’effectivité, une équipe de L’Express du Faso a fait un tour du côté du lycée privé d’Accart ville de Bobo-Dioulasso.
C’est la rentrée des classes. Les enseignants et les élèves ont repris le chemin de l’école. Au lycée privé d’Accart-ville situé au secteur 09 de Bobo-Dioulasso. Sur place, on constate que les cours ont effectivement débuté. Comme à l’accoutumée, l’établissement a élaboré le calendrier des différents programmes depuis la rentrée administrative du 15 septembre 2023. Selon Nazer Bonzi, directeur du lycée privé d’Accart-ville, « les élèves en classe d’examen ont été installés le samedi 23 septembre 2023 et ont commencé les cours dès le lundi 25 septembre. C’est à partir du 28 septembre que nous avons installé les élèves en classe de 6e et 2nde vu que ce sont des nouveaux. La date du 29 septembre réservée aux autres classes et le lendemain a eu lieu le conseil de rentrée scolaire ».
Sur la rentrée, le directeur affirme que les cours ont bel et bien débuté ce lundi 02 octobre au lycée privé d’Accart ville et que cette rentrée est un succès. Autre constat sur le terrain, c’est l’affluence au niveau des inscriptions, parents et élèves sont toujours dans l’attente. Il termine par les souhaits de bonne rentrée, de bon déroulement de l’année, et surtout de bons résultats car, selon lui, les bons résultats sont la meilleure publicité d’un établissement.
Lassina Ouattara, professeur d’histoire-géographie dans ce lycée depuis cinq ans, trouve qu’il n’y a pas d’émotion particulière. « Nous sommes contents de reprendre dans la sérénité. Notre souhait est de produire de bons résultats par rapport à l’année antérieure », a-t-il souligné.
De nouveaux et anciens élèves s’expriment sur la rentrée scolaire. Balguissa Anifatou Ouattara est heureuse d’être au lycée. Elle dit également être impatiente de savoir la différence entre le primaire et le lycée. Contrairement à Anifatou, certains sont là depuis deux, trois ans ou plus. C’est le cas de Oumou Naoma Yaméogo qui dit être entre stress et peur.
Oumou-Koulsoum OUEDRAOGO/Stagiaire