Santé : « On peut vaincre le mal par une bonne alimentation », Nestor Poodasse, président de Association des naturothérapeutes des Hauts-Bassins

Le 28 mai 2021, l’Association des naturothérapeutes des Hauts-Bassins (ANHB) a organisé une conférence au profit des hommes de médias de la région des Hauts-Bassins à l’antenne du Conseil supérieur de la communication. L’objectif est d’imprégner les journalistes afin de mieux informer la population sur les principes d’une bonne alimentation pour être en bonne santé.

La conférence s’est déroulée sous le thème : « Comment combiner les aliments pour être en bonne santé ?»  L’objectif de cette conférence est de soigner la population par les merveilles de la nature à travers les méthodes naturelles de santé à savoir l’utilisation d’une bonne alimentation, des plantes médicinales appropriées, des essences des plantes et des techniques manuelles des couleurs et musiques appropriées.

Le conférencier Nestor Poodasse a procédé a des exposés de sensibilisation autour du thème à travers une projection. Les exposés ont été animés par une série de questions des journalistes suivie de réponses. Selon Nestor Poodasse, président de l’ANHB et conférencier du jour, « 90% de nos maladies sont liées à l’alimentation. On peut vaincre le mal par l’alimentation.

Quand l’alimentation est mauvaise, les médicaments ne servent à rien. Lorsque l’alimentation est correcte, il n’y a pas besoin de médicament. Il s’agit ici d’aliments médicaments (Alicament)». Toujours selon lui, « notre association n’a qu’une année d’existence et nous avons touché déjà des milliers de personnes.

Nous voulons imprégner à travers cette conférence les hommes de médias qui sont porteurs d’informations pour atteindre nos objectifs. Nous  souhaitons travailler en collaboration avec l’association des tradipraticiens du Burkina Faso pour faire des propositions au ministère de la Santé pour le bien-être de la population.

Dans les jours  à venir, nous demanderons au ministère de la Santé  pour que les cours de la naturothérapeute soient enseignés dans les facultés de médecine et des écoles de santé du Burkina ».

Ben Alassane DAO