Célébration du 08 Mars : La MACB aux couleurs de l’association DEMBAGNOUMA

L’association pour la valorisation de l’enfant, de la jeune fille et de la femme dénommée DEMBAGNOUMA a fait parler son cœur vis-à-vis des pensionnaires de la Maison d’arrêt et de correction de Bobo-Dioulasso (MACB).

Remise Symbolique de don aux femmes pénitentiaire de la MACB (en pagne de 8 mars)

Dix sacs de riz de 25 kg, un sac de maïs de 100 kg, 3 cartons de savons SN-CITEC, 3 cartons de macaroni, un sac de savon en poudre, deux cartons de coton hygiénique, un métier à tisser ; c’est entre autres la composition du don fait aux pensionnaires de la maison d’arrêt et de correction de Bobo-Dioulasso par l’association DEMBAGNOUMA. Selon la présidente de l’association DENBAGNOUMA Madame Zagré ce geste entre dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la femme, organisée par l’association. « Nous œuvrons au quotidien pour l’insertion socioprofessionnelle de la jeune fille ainsi que de la femme. En ce jour de célébration de la femme, l’amicale des femmes de Bobo de notre association a décidé d’apporter sont soutien aux femmes en détention à la MACB à travers un don constitué de plusieurs produits ».

Pour le directeur de la MACB, Vincent Konombo, ce don est bien venu et est à apprécier à sa juste valeur. « Nous disons merci à madame Zagré, présidente nationale de l’association DEMBAGNOUMA et à l’amicale des femmes de l’association DEMBAGNOUMA de Bobo. C’est un plaisir pour nous de vous recevoir dans nos locaux  ce matin. Nous apprécions beaucoup votre geste qui est constitué de produit d’entretien et d’alimentation. Ce qui nous tient le plus à cœur est le métier à tisser. Nous avons un projet d’atelier de couture au sein de la MACB qui est bien avancé. Ce métier à tisser viendra renforcer notre projet en y ajoutant un plus. Au nom de toute l’administration pénitentiaire, nous vous disons un fois de plus merci », a-t-il déclaré.

Avant de quitter la MACB, la présidente de l’association DENBAGNOUMA Madame Zagré a souhaité que les femmes qui sont gardées entre ces mûres puissent retrouver la liberté.

Aymeric KANI

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