Dr Claude Aimé Tassembédo est candidat indépendant à la présidentielle du 22 novembre prochain. Le prétendant locataire de Kosyam veut briguer la magistrature suprême afin de « changer » la situation du Burkina.
La vision du Docteur Claude Aimé Tassembédo pour son Faso, c’est «Restaurer la grandeur et la dignité du Faso en renouant avec les valeurs traditionnelles d’intégrité et de travail dans la discipline ». Pour ce faire, Docteur Claude Aimé Tassembédo ambitionne de mettre en place une gouvernance vertueuse et conduire les affaires de l’Etat avec un souci de cohésion sociale basé sur l’éthique et la traçabilité. Une gouvernance qu’il indique inscrire dans le processus de l’intégration africaine, construire une société basée sur la nécessité de mettre un terme définitif à toutes les formes de corruption passive et active ainsi qu’institutionnelles (les différents fonds secrets). « Nous sommes dynamiques et pragmatiques. De ce fait, nous gouvernerons dans l’efficacité et l’efficience le Burkina Faso à travers vingt ministères. Il s’agit d’œuvrer pour la bonne gouvernance », clame-t-il.
En ce qui concerne la gestion du pouvoir public, le candidat indépendant promet de donner aux citoyens un moyen approprié de contrôle effectif de la gestion de l’Etat à travers des institutions consensuelles, participatives. L’objectif est de mettre en place un gouvernement de combat intégratif et non partisan, vertueux et axé sur les résultats. Le candidat indépendant veut « créer les conditions de la sécurisation totale du territoire et l’instauration d’une paix durable ; organiser les bases sociales et juridiques de la réconciliation nationale et de la redevabilité, gages d’une cohésion sociale indispensable à l’émergence et au progrès socio-économique du pays ; promouvoir une économie sociale, dont les fruits doivent être ressentis dans le panier de la ménagère et non au baromètre des chiffres ; mettre en œuvre le principe managérial de l’homme d’abord, tout le reste doit conduire au bien-être et à l’épanouissement des citoyens ; instaurer la méthode de gouvernance basée sur un management participatif à travers l’animation d’un réseau consensuel de prise de décision de tous les acteurs impliqués dans le dialogue social ; rendre effectif la notion de servir comme le leitmotiv de la responsabilité et de l’action publique, voire citoyenne ».
Sira DAO/Stagiaire