Maître Ambroise Ségui Farama : L’avocat défenseur des pauvres à la conquête de Kosyam

C’est un cheminement gravissant les différents échelons de la vie politique, qui amène à présent maitre Ambroise Ségui Farama, à briguer la magistrature suprême au Burkina Faso. Avocat, le candidat de l’Organisation des peuples africains (OPA-BF), du haut de ces 44 ans bien sonnés, ambitionne fortement de succéder au président du Faso sortant à Kosyam. Prenons langue avec celui qu’on surnomme l’avocat des pauvres, pour mieux le connaitre.

Maître Ambroise Farama

Maitre Ambroise Ségui Farama  est un avocat fiscalite,  qui comme  son frère Maitre Prosper Farama, est toujours à l’écoute des plus pauvres de la société. Toujours prêt à défendre les causes justes, il est bien connu des milieux sociaux et politiques. On se souvient que, lors de son investiture en tant que candidat de l’OPA-BF à la maison de la culture de Bobo-Dioulasso, le 29 Août2020, le SG du parti Ernest Compaoré dressait le portrait de leur candidat en ces termes. « Maitre Ambroise Ségui Farama est un jeune au visage agréable et au cœur vaillant, un avocat  qui ne recule devant rien  pour les causes justes ». Le candidat de l’OPA-BF à la présidentielle, a d’abord milité dans les mouvements associatifs au niveau de l’Université de Ouagadougou, où il a occupe le poste de secrétaire général de l’Association nationale des étudiants du Burkina Faso. Du militantisme associatif, l’avocat des causes justes s’est retrouvé dans les partis politiques. Epousant les idéaux du père de la Révolution burkinabè Thomas Sankara, il dépose ses valises en 2011 à l’UNIR/PS. A l’issue du premier congrès ordinaire 2013 du parti, il est nommé secrétaire national chargé de l’administration, porte-parole du parti. Et le 27 juin 2017, il démissionne de l’UNIR/PS. Une année plus tard, soit le 11 février 2018, il porte sur des fonds baptismaux l’Organisation des peuples africains, qui prône le panafricanisme. Au cours de sa carrière d’avocat, Maitre Ambroise Ségui Farama a eu plusieurs distinctions parmi lesquelles on peut retenir le prix du concours international de plaidoirie de la francophonie organisé avec la collaboration du barreau de Paris en 2005 et 2006.  Dans les anales de l’histoire du Burkina Faso, un homme de droit n’a pas encore brigué la magistrature suprême et Maitre Ambroise Ségui Farama veut être le premier.

Firmin OUATTARA

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