Le Professeur Abdoulaye Soma, candidat du parti Soleil d’Avenir pour l’élection présidentielle du 22 novembre, tente de convaincre l’électorat à travers un programme de société qui permettra à notre nation de « faire 15 pas en avant ».
La réconciliation nationale, l’unité et la sécurité, sont la première bataille à laquelle le professeur Abdoulaye Soma se livrera au soir du 22 novembre, si tout fois le peuple lui accorde crédit. Pour le professeur candidat à l’élection présidentielle, le Burkina Faso est à la croisée des chemins. Pour cela, il lui faut une réconciliation sincère pour regagner et redonner espoir aux populations. Pour convaincre l’électorat, le candidat du Soleil d’Avenir s’engage également sur plusieurs autres chantiers à savoir, l’éducation où il promet la bourse à tous les élèves et étudiants du CP1 au doctorat. La lutte contre le chômage n’est pas en marge du programme du professeur Soma, car la création de dix mille emplois par an dans le secteur privé formel et informel est au rendez-vous de son programme. Avec le professeur Abdoulaye Soma a la tête de l’Exécutif burkinabé pour les cinq prochaines années, l’autosuffisance alimentaire ne serait plus un vain mot. Pour lutter contre la crise alimentaire, le candidat propose l’opération « une province, un champ public pour nourrir le peuple ». Dans ces champs publics, les denrées alimentaires de première nécessité et de grande consommation, notamment les céréales, les oléagineux et les tubercules seront produits en quantité.
Dans le domaine de la santé, Soleil d’Avenir propose la construction d’un hôpital de référence accessible à tous, dans l’objectif zéro évacuation sanitaire.
Pour la réalisation des infrastructures, Soleil d’Avenir promet un milliard par an à chaque province à cet effet.
La création d’un vrai pouvoir judiciaire, une justice forte et indépendante ; une réforme constitutionnelle, pour une constitution simple et juste sont les propositions du professeur Soma. Pour conduire le programme quinquennal du Professeur, treize ministres sont suffisants. Pas plus !
Aymeric KANI